Né le 7 décembre 1993 à Montauban, Geoffrey Marini, que le monde artistique connaît sous le nom de Jhey Marini, est emporté à l'âge de 3 semaines vers le Congo-Brazzaville.

Il y grandit entre les échos des ruelles animées de Brazzaville et les terres paisibles de la périphérie, là où les pulsations de la ville dialoguent avec la sagesse des anciens.

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Issu d’un métissage noble et lumineux, Jhey est la résonance d’un double monde. Son père, enraciné à Pointe-Noire, descend d’une lignée royale du Royaume de Loango. Sa mère, native de Brazzaville, incarne cette fusion entre l’Afrique profonde et les résonances européennes.

Il porte dans le sang une mémoire vivante, une richesse plurielle, tissée de cultures entremêlées.

Très tôt, le corps devient son premier instrument. Enfant déjà, il danse comme on respire, librement, instinctivement. Sur les scènes improvisées ou dans l’intimité des rassemblements populaires, il irradie une énergie pure, une danse du cœur, qui ne cherche pas la prouesse mais le lien.

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Humaniste dans l’âme, Jhey est un bâtisseur de confiance. Il tend la main naturellement, aime sans calcul, et avance avec cette force tranquille de ceux qui transforment le geste simple en acte profond. Son dévouement, qu’il s’agisse d’un travail manuel ou d’un projet artistique, révèle une constance rare : tout est fait avec cœur.

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Aujourd’hui, Jhey Marini trace sa route entre sons, mots et mouvements. Son premier album, conçu comme un hommage vibrant à ses racines, mêle afrozouk love et sensibilité contemporaine. Chaque note y est empreinte d’émotion, chaque parole d’humanité. À travers sa musique, il célèbre l’Afrique, construit des passerelles entre les cultures et fait danser les âmes autant que les corps.